Comme une "légère" envie de se détruire... Boulimie/Hyperphagie

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Boulimie/Hyperphagie

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  La boulimie est une envie irrépressible de manger, en grande quantité, sans contrôle possible.  Il y a plusieurs formes de boulimies : ainsi, on constate des boulimies dites « salées », d’autres « sucrée » ou encore boulimie du chocolat. Cela survient par crise, parfois plusieurs fois dans une même journée. La personne boulimique, plus souvent des femmes que des hommes, a souvent recourt à des méthodes compensatoires pour limiter la prise de poids : sport intensif, prise de laxatifs, diurétiques, jeûnes, vomissements. On peut donc parler de boulimie non vomitive (BNV), qui peut donc être qualifiée d’hyperphagie, ou boulimie vomitive (BV). Dans le cas de la boulimie vomitive, il faut savoir que de toute façon, malgré les vomissements, 20% de la crise reste dans l’estomac.              Il est fréquent de voir des personnes alterner entre anorexie et boulimie. On parle alors d’anorexie-boulimie, ou de boulimarexie.

             Certains médecins classent cette pathologie psychologique dans la catégorie des addictions, au même titre que l’alcool ou la drogue. Pendant la crise de boulimie, le sujet perd totalement le contrôle de lui-même. Il peut même arriver que le patient ne se souvienne plus exactement de tout ce qu’il s’est déroulé, et peu avoir des attitudes et réactions disproportionnés face à une situation : faire tomber toutes les affaires d’une table pleine parce qu’elle ne trouve pas le paquet de gâteaux voulu, casser volontairement des objets sous l’effet de la colère de se voir refuser quelque chose, etc.

Lorsque la crise arrive, le patient n’a qu’une seule idée en tête, qui lui est apparue soudainement, parfois alors qu’il était occupé à une activité prenante : manger. Certains possèdent une idée bien précise de ce qu’ils vont manger, d’autres pas. Chez certains la crise se déroule dans le chaos total, ingérant pâtes avec Nutella, et glaces avec des chips, chez d’autres elle est plus centrée sur une catégorie précise d’aliments. Chez les anorexiques-boulimiques (ou boulimiarexiques), la prise alimentaire se concentre surtout sur les aliments habituellement interdits, souvent très gras, très sucré, ou très salé.

La crise se stoppe lorsque le dégoût est ressenti. Un boulimique peut ingérer une quantité astronomique de calories en une seule crise ! Ce dégoût laisse place à une forte honte et culpabilité. Le sujet vomitif va alors tout tenter pour se faire vomir, en sachant qu’il risque de mourir à tout moment lors de ses vomissements (arrêt cardiaque, manque de potassium, d’eau, évanouissement, etc).

             La boulimie psychologique peut être traitée par des psychothérapies, psychanalytiques ou cognitivo-comportementales.

Ce type de pathologie peut également reposer sur une difficulté à contrôler ses impulsions : un neuro transmetteur serait donc défectueux (sérotonine) dans le fonctionnement des synapses du cerveau. Une aide médicamenteuse est donc possible, il s’agit fréquemment de médicaments de la catégorie des antidépresseurs.

         Médicalement, une personne est dite boulimique si elle absorbe une énorme quantité de nourriture dans un laps de temps très court, au moins 3 fois par semaines pendant 3 mois. Ce qui est déjà énorme...



"Elle avait 19 ans seulement, et souffrait d’anorexie-boulimie depuis 5 ans. Elle est morte suite à une rupture gastrique, après avoir ingéré 5,6 litres de nourriture.

Elle pesait 43 kilos pour 1,55m

 

La rigidité cadavérique avait envahi son corps, cela même qui apparaît entre 12 et 72 heures. Les contusions montraient qu’elle était morte depuis au moins 8 heures. Ses yeux étaient opaques. Si l’on regardait au niveau de son estomac on pouvait voir une teinte verdâtre, signe typique des organes internes pourrissant que l’on nomme ‘putréfaction’. La pourriture de ses organes internes avait du être accélérée par les sucs gastriques car normalement cela prend quelques jours.

 

En raison des multiples contusions, une autopsie a été faite. Le contenu de son estomac s’était répandu dans tout son corps. Le sang et la nourriture avaient envahi son anus et son vagin, ce qui avait provoqué des contusions « fraîches » qui pouvaient faire penser à des violences sexuelles.

L’autopsie a montré que son estomac s’était étendu des côtes au pubis, et qu’il comportait une énorme déchirure.

On pouvait observer d’autres anomalies : son cœur avait rétréci et montrait les caractéristiques d’un cœur souffrant de la famine : les muscles détruits et les cellules immunitaires mortes. Son cerveau avait gonflé suite à l’augmentation du débit sanguin du à la rupture gastrique. Il avait commencé à gonfler dans le crâne alors qu’elle n’était pas encore morte. Elle souffrait également d’une pneumonie.

Voilà la traduction « en gros » d’un article en « vogue » sur certain site internet américain. Normalement il est plus long, la fille qui l’a rédigé nous fait par de ses impressions et insiste sur le fait qu’on peut mourir d’une rupture d’estomac.

Elle nous explique que les boulimiques vomisseuses tuent à chaque crise leur estomac, car lorsque l’on mange l’estomac se dilate et s’il se dilate de trop il écrase les vaisseaux sanguins ce qui coupent l’approvisionnement en sang et tue une partie du tissu des parois gastrique. Cette partie est alors affaiblie. Les vomissements provoquent des grosses pressions sur l’estomac, notamment sur la partie affaiblie ce qui peut provoquer à plus ou moins courte durée une rupture de l’estomac…

D’après les scientifiques l’estomac ne peut contenir que 4 litres de nourriture.

Personnellement je connaissais ce risque de rupture gastrique. J’en avais déjà entendu parler mais par les troubles alimentaires. Ma sœur m’avait parlé de certains rescapés des camps de concentration qui avait tellement mangé après leur libération qu’ils en sont morts. Donc je ne remets pas en cause cet article qu’une amie m’a transmis.

 

Cette histoire morbide n’a pas été mise sur le net parce que le trash fait fureur, mais pour montrer dans quelques conditions atroces on peut mourir des TCA notamment lors de vomissements provoqués.

 

 Il n’y a pas de glamour, aucune beauté à vivre ses derniers instants dans les plus grandes souffrances au dessus des toilettes. Ce message est plus particulièrement destiné à celles qui pensent que l’anorexie et la boulimie sont des moyens faciles de maigrir. Non ce sont des maladies mortelles."

                    http://eixerona.over-blog.com/article-11803747.html


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Histoire d'anorexique